Les chercheures et chercheurs du GRES

Professeure titulaire École de psychoéducation Université de Montréal

Linda Pagani

Linda Pagani, PhD, était infirmière licenciée pendant dix ans avant de devenir psychologue. Après avoir obtenu son diplôme de l’Université Concordia (BA en psychologie, 1986-1989) et de l’Université McGill (MA, PhD en psychologie scolaire, 1989-1993), elle a poursuivi des études postdoctorales en développement de l’enfant à l’Université de Montréal. Elle est devenue par la suite membre de cette institution en avril 1994.

Dre Pagani est professeure titulaire à l’École de psychoéducation et chercheur au Centre de recherche du CHU Sainte-Justine de l’Université de Montréal. Ses efforts en tant que professeure en psychoéducation et chercheuse au Groupe recherche sur les environnements scolaires (GRES) ont pour but d’influencer les politiques sociales et de santé auprès des enfants. À cet effet, sa plus grande préoccupation est la préparation à l’école et la persévérance scolaire chez les jeunes. Elle est surtout captivée par les facteurs influençant l’engagement scolaire chez les élèves au primaire et au secondaire.

Étant également membre-chercheuse au Centre de recherche du CHU Sainte-Justine (Axe santé du cerveau), elle s’intéresse aussi au lien entre les habitudes et les contextes de vie (comme la fumée secondaire, les pratiques parentales et le fonctionnement familial dans les familles à risque) et la réussite scolaire, de la petite enfance jusqu’à l’adolescence. Entre autres, elle aime étudier les relations entre les conditions et contextes de santé et le développement psychosocial chez l’enfant et l’adolescent (comme les habitudes télévisuelles ou sportives chez l’enfant).

Par ailleurs, comme membre-chercheuse du groupe CIRCUIT du CHU Ste-Justine, elle est très fière d’être l’intervenante principale de la composante d’intervention psychosociale du programme SNAP (Santé, Nutrition, Activité Physique). Ce programme a été conçu en partenariat avec l’hôpital Sainte-Justine, la Fondation du Dr Julien, le camp P’tit Bonheur et le Centre Père-Sablon. Son objectif est de donner envie aux jeunes de bouger et de mieux s’alimenter. Ce programme vise aussi à les outiller à faire face à leur quotidien et à augmenter leur estime de soi.

Les recherches de Linda Pagani portent sur les cinq créneaux en santé du cerveau, toujours avec une perspective longitudinale :

  1. Les risques bio-psycho-sociaux associés avec une surexposition à la télévision en bas âge (2 à 5 ans);
  2. Les risques bio-psycho-sociaux associés avec l’exposition à la fumée secondaire en bas âge;
  3. La maturité scolaire et sa relation avec le bien-être bio-psycho-social chez les jeunes à long-terme;
  4. L’influence de l’activité physique sur le bien-être bio-psycho-social chez les jeunes à long-terme;
  5. Les processus et enjeux multidisciplinaires reliés à l’évaluation fonctionnelle et le suivi clinique du trouble du déficit de l’attention avec/sans hyperactivité (TDAH) chez les enfants, les adolescents et les adultes.

Elle offre aussi des formations continues ponctuelles pour chercheurs, cliniciens et étudiants aux études supérieures sur (1) l’évaluation fonctionnelle et le suivi clinique du trouble du déficit de l’attention avec/sans hyperactivité, selon les lignes directrices nationales cliniques fournies par la CADDRA et (2) la rédaction efficace d’articles scientifiques (en anglais) pour des revues APA et AMA pour chercheurs francophones et (3) les relations entre la recherche et les médias.

Ses efforts en tant que professeure en psychoéducation et chercheuse au Groupe de recherche sur les environnements scolaires (GRES) ont pour but d’influencer les politiques sociales et de santé auprès des enfants. À cet effet, sa plus grande préoccupation est la préparation à l’école et la persévérance scolaire chez les jeunes. Elle est surtout captivée par les facteurs influençant l’engagement scolaire chez les élèves au primaire et au secondaire. Étant également membre-chercheuse au Centre de recherche du CHU Sainte-Justine, Mme Pagani s’intéresse aussi au lien entre les habitudes et les contextes de vie (télévisuelles, sportives, les comportements à risque, le tabac, les pratiques parentales, le fonctionnement familial) et la réussite scolaire, de la petite enfance jusqu’à l’adolescence. Entre autres, elle aime étudier les relations entre les conditions et contextes de santé et le développement psychosocial chez l’enfant et l’adolescent. Finalement, elle collabore avec des chercheurs-cliniciens du Centre de recherche de l’hôpital Sainte-Justine et de l’Université de McGill et des projets sur l’activité physique et la santé bio-psycho-sociale.